Theresa May sera le premier dirigeant étranger à être reçu par le président américain Donald Trump, vendredi, une rencontre lors de laquelle la Première ministre britannique souhaite esquisser les contours de la future relation commerciale entre les deux pays.
La première ministre du Royaume-Uni, Theresa May, devrait également inciter le président américain Donald Trump à ne pas casser l'accord nucléaire iranien durant leur rencontre aujourd'hui, une rare bonne nouvelle pour les partisans du pacte. "L'accord nucléaire avec l'Iran est controversé", a-t-elle déclaré aux républicains du Congrès lors de leur retraite jeudi. "Mais il a neutralisé la possibilité des Iraniens d'acquérir des armes nucléaires pendant plus d'une décennie."
Donald Trump avait émis l’intention, durant sa campagne de « rétrograder » l’accord nucléaire iranien. Son choix du futur patron de la CIA confirme la volonté de la nouvelle administration américaine de «retourner» l’accord nucléaire américain avec l’Iran.
Donald Trump pro #Brexit
Le nouveau locataire de la maison blanche, voyant des parallèles dans le vote pour la sortie de l’UE avec sa propre campagne présidentielle, a été l’un des rares dirigeants du monde à soutenir le Brexit,ce qui ne va pas sans déplaire à Theresa May. Autre motif de réjouissance à Downing Street : le président américain a dit vouloir conclure « rapidement » un accord commercial avec Londres, à l’heure où Theresa May souhaite sortir son pays du marché unique européen et se faire la championne du libre-échange.