La crise financière qui frappe de plein fouet le budget du gouvernement et les comptes publics algériens n’a pas épargné les services de police du pays.
Selon le contrôleur général de police, directeur des ressources humaines à la direction générale de la sûreté nationale algérienne, les affectations et autres promotions se feront désormais en interne au sein des effectifs existants.
Avec la crise inédite et sans précédent qui s’abat sur nos voisins, le gouvernement ne sait plus à quel saint se vouer pour combler les besoins pressants de la population et de toute l’économie du pays.
Même les réserves de change stratégiques qui s’élevaient à quelque 105 milliards de dollars, en plus du Fonds de
Régulation des Recettes doté de quelque 90 milliards de dollars, se sont totalement épuisés laissant le pays au bord de la banqueroute.
Depuis l’avènement de Abdelaziz Bouteflika, il y a 17 ans, ce sont plus de 500 milliards de dollars qui se sont évaporées sans créer le moindre impact sur l’économie du pays et ce malgré une manne en hydrocarbures qui compte parmi les plus conséquentes dans le monde.