Une première campagne de vaccination sera conduite en France probablement fin décembre-début janvier sur les publics «les plus sensibles» avant une deuxième vague «plus large et grand public» qui s’ouvrira vraisemblablement au printemps, a annoncé mardi Emmanuel Macron.
Reuters
La première phase pourra débuter dès homologation des candidats vaccins, soit «vraisemblablement entre fin décembre et début janvier», a précisé le chef de l’Etat, qui s’exprimait à l’issue d’un entretien avec le Premier ministre belge Alexandre de Croo.
«Et on aura vraisemblablement une deuxième vague de vaccination qui s’ouvrira quelque part entre avril et juin qui elle sera plus large et plus grand public et qui ira vers une stratégie de vaccination du plus grand nombre», a-t-il ajouté, réaffirmant que le vaccin ne serait pas obligatoire.