Le coup d’envoi de la deuxième édition de « Deeptech Summit », qui portera sur la manière dont l’IA transforme la Deep tech, a été donné à Benguerir. Du 8 au 9 mai, plus de 7000 participants venus de 53 pays avec près de 1000 startups seront de la partie.
Pleins feux sur Deeptech Summit ! Les travaux de cet événement, qui compte accueillir plus de 7000 participants contre 2000 lors de la première édition en 2024, démarrent ce jeudi 8 mai au campus de l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P).
« Nous sommes heureux d’organiser un événement de cette envergure. Le Sommet de la Deep Tech est devenu, en deux ans, une rencontre incontournable, connue et reconnue aux niveaux national et international », s’accordent à dire Amina Lahbabi, Directrice de la Communication et des Relations Publiques de l’UM6P et Yassine Laghzioui, Directeur de l’Entreprenariat et Venturing de l’UM6P, lors d’une conférence de presse organisée, hier mercredi, à l’hôtel Hilton Double Tree à Benguerir.




Et de mettre en exergue que lors du DTS 2025, ce sont 66 sessions réparties sur onze localisations qui seront organisées, en passant par des visites de laboratoires et d’infrastructures de l’UM6P ainsi que la participation active de 83 startups parmi les 1000 présentes sur les lieux.
Les responsables ont également annoncé des nouveautés prévues pour cette édition à l’instar de prix DTS, sponsorisés par l’OCP et la banque Attijariwafa, destinés à récompenser les startups actives dans la Deep Tech, le secteur des sciences de la vie, de l’économie verte ainsi que la startup africaine la plus prometteuse. Et ce n’est pas tout.
L’on a également dévoilé de même source un « deepfake challenge » qui est un concours dont la visée est de créer la première plateforme permettant aux différents acteurs de se réunir et de développer des solutions pour renforcer le rôle de l’IA dans la lutte contre les deepfakes et la désinformation numérique.
Ainsi, après une première édition réussie sous le thème « La Deep Tech : Prochain jalon de la transformation en Afrique », la seconde promet de transcender plus encore les frontières en positionnant le Maroc comme un hub dans un domaine compétitif à forte valeur ajoutée.