Royal Air Maroc (RAM) poursuit son ascension dans le concert des grandes compagnies aériennes mondiales. En annonçant son partenariat stratégique avec The New Terminal One de l’aéroport international John F. Kennedy (JFK) de New York, la compagnie nationale s’offre un écrin à la hauteur de ses ambitions transatlantiques. Dès juin 2026, RAM opérera ses vols depuis ce nouveau hub ultra-moderne, renforçant son positionnement entre les Amériques et l’Afrique, et affirmant un peu plus encore sa stature de transporteur global.
Royal Air Maroc rejoint The New Terminal One de JFK – Fiche syntétique
Section | Contenu |
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Enjeu stratégique | – Objectif : Renforcer la connectivité Afrique-Amériques via New York – Début des opérations : Juin 2026 – Terminal : The New Terminal One – JFK – Positionnement : Première compagnie oneworld à intégrer le terminal |
Pour les passagers | Expérience client améliorée : ✓ Check-in fluide et digitalisé ✓ Sécurité accélérée ✓ Embarquement simplifié Offres premium : ✓ Gastronomie haut de gamme ✓ Boutiques de luxe internationales ✓ Lounge exclusif RAM (prévu) |
Le terminal en chiffres | – Coût global du projet JFK : 19 milliards \$ – Surface : 2,6 millions ft² – Nombre de portes : 23 à terme – Calendrier : Phase 1 en 2026 / Finalisation en 2030 |
Pour le Maroc | Plan de croissance 2023–2037 : ✓ 200 avions visés ✓ 147 destinations ✓ 32 millions de passagers/an Rayonnement international : ✓ Casablanca comme hub Afrique-Amériques-Europe-Asie ✓ Synergies renforcées avec l’alliance oneworld |
Un partenariat de référence | – Consortium du terminal : Ferrovial, Carlyle, JLC Infrastructure, Ullico – Engagement ESG : 20% minorités, 10% femmes, 10% locaux, 3% vétérans – Positionnement partagé sur l’excellence aéroportuaire et l’innovation |
Un terminal nouvelle génération pour une expérience client réinventée
Ce nouveau partenariat paraphé par Hamid Addou, Président Directeur Général de Royal Air Maroc inscrit la compagnie nationale marocaine dans l’un des projets aéroportuaires les plus emblématiques du continent nord-américain. Le New Terminal One, développé par un consortium international piloté par Ferrovial, Carlyle, JLC Infrastructure et Ullico, s’impose comme le pilier sud de la transformation du JFK. Porté par un investissement de 19 milliards de dollars, il vise à redéfinir les standards mondiaux de l’accueil aéroportuaire : 2,6 millions de pieds carrés, 23 portes à terme, une ouverture progressive dès 2026 et une ambition claire — figurer dans le Top 5 du classement Skytrax.
Pour Royal Air Maroc, ce transfert représente bien plus qu’un simple déménagement logistique. Il s’agit d’une expérience de marque renforcée : parcours fluide du trottoir à l’embarquement, innovations technologiques, design contemporain et offre premium de restauration et de shopping. Autant d’éléments qui alignent désormais l’expérience RAM sur celle des plus grandes compagnies internationales.

Une avancée stratégique au cœur du plus grand marché aérien du monde
Pour M. Hamid Addou, Président Directeur Général de la compagnie, ce partenariat « représente une avancée majeure » qui consolide la présence de RAM à New York — première porte d’entrée vers le continent américain. Plus encore, il s’inscrit dans le cadre du contrat-programme signé en 2023 avec l’État marocain, qui prévoit le quadruplement de la flotte à l’horizon 2037, passant de 52 à 200 appareils, et l’atteinte de 32 millions de passagers annuels.
Royal Air Maroc devient ainsi le premier membre de l’alliance oneworld à rejoindre le New Terminal One, aux côtés de figures de l’aviation mondiale comme Air France, KLM, Etihad ou Turkish Airlines. Cette décision conforte sa volonté d’ancrer Casablanca comme hub africain de référence, en lien direct avec les grandes capitales économiques de la planète.
L’Afrique, désormais à portée de tarmac new-yorkais
Avec une desserte quotidienne vers Casablanca opérée en Boeing 787 Dreamliner, RAM relie déjà les passagers américains aux merveilles du Royaume — de la magie de Marrakech aux dunes du Sahara. Mais au-delà du tourisme, c’est bien une dynamique plus large de connectivité Afrique-Amériques qui s’intensifie. À l’heure où l’Afrique se positionne comme le continent du XXIe siècle, le rôle de passerelle assumé par RAM prend toute sa mesure.
Une vision partagée de l’excellence
Jennifer Aument, CEO du New Terminal One, ne cache pas son enthousiasme : « Nous sommes ravis d’accueillir Royal Air Maroc. Ce partenariat incarne une vision commune de l’excellence opérationnelle et de l’expérience client. Il marque un tournant pour les voyageurs transatlantiques.»
En retour, Royal Air Maroc contribue à faire rayonner le Maroc sur la scène internationale, non plus seulement comme destination, mais comme acteur structurant de la mobilité mondiale. Un pas de plus vers la concrétisation de la vision royale d’un pays moteur dans la diplomatie économique, l’intégration régionale et l’innovation en matière de transport.
Trailer trucks queue to cross into the United States at the Otay Mesa Port of Entry, in Tijuana, Mexico, November 27, 2024. Jorge Duenes/Reuters
New York
CNN
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Since President Donald Trump won the election in November, businesses across the globe have been bracing for higher tariffs — a key Day One promise the president made.
But over a week into his presidency, Trump has yet to enact any new tariffs.
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That could change, come 11:59 p.m. ET on Saturday — the deadline Trump set for when he says he will slap 25% tariffs on all Mexican and Canadian goods and a 10% tariff on all Chinese goods.
The tariffs, he said, will be imposed as a way of punishing the three nations, which Trump claims are responsible for helping people enter the country illegally and supplying fentanyl consumed in the US.
Speaking to reporters from the Oval Office on Thursday, Trump said he meant business, especially with his tariff threats on Mexico and Canada. White House Press Secretary Karoline Leavitt also confirmed on Friday that Trump will levy the 10% tariff on China on Saturday.
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Should these threats be believed? Yes and no, said Trump’s former Commerce Secretary Wilbur Ross.
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The threat of blanket tariffs is likely being overstated, Ross said in an interview with CNN. “There probably will be exclusions, because there are some goods that just are not made here, will not be made here, and therefore, there’s no particular point putting tariffs on.”
Ross, who was one of a handful of initial cabinet members in Trump’s first administration who kept their position for the entire four-year term, said he advocated for such exclusions when he advised Trump on tariff policies.
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