Le journal israélien à grand tirage, «Yedioth Ahronoth», a publié dans son supplément du week-end, une enquête documentée sur le comportement des touristes israéliens à Dubaï. «Ce sont des groupes d'hommes israéliens qui partent à Dubaï avec des milliers de dollars en poche, zéro douleur dans le cœur, et un seul objectif : coucher avec le plus de femmes prostituées possible » a écrit Ido Shabertzuch, envoyé du Yedioth Ahronoth à Dubaï. Selo Mako, le troisième site d’information du pays, ce tourisme sexuel serait exploité par des réseaux mafieux israélien qui ont transféré leur activité de l'Europe de l'Est à Dubaï.
Au début de soirée dans l'immense complexe aquatique de l'hôtel de luxe «Palm Palm» à Dubaï, des dizaines de prostituées sont déjà autour de nous, raconte le journaliste israélien, qui accompagnait trois jeunes hommes, ayant tous la vingtaine, dont un qui sera cité par la suite sous le pseudonyme d'Eran. Comme beaucoup d'hommes israéliens, ils ont eux aussi découvert l'industrie du sexe exploiteuse et choquante des Émirats arabes unis, poursuit le .
«C'est de la folie ici, tu es défoncé toute la journée. Alcool, filles, soirées sexuelles», confient de jeunes touristes israéliens.
Cela se passe dans les hôtels de luxe de Dubaï, dans les boîtes de nuit, partout. «À l'extérieur des hôtels, les gens se promènent avec des brochures et vous bousculent la main», explique Benny, un homme d'affaires qui se déplace fréquemment à Dubaï».
«Ils reconnaissent déjà les groupes d'Israéliens, les approchent avec des galeries de photos sur iPad ou sur smartphone. Tout est possible, comme s'il s'agissait d'un menu de pizza avec des garnitures».
On entend parfois dans le hall des cris d'Israéliens : «Je veux deux ensemble» , ou « Je suis avec deux autres amis, ils veulent trois filles.»
Retour au complexe aquatique de l'hôtel. L'un des membres du groupe désigne deux jeunes femmes assises à quelques mètres de nous, écrit le journaliste. Une blonde, avec une mini jupe serrée et un petit sac Chanel et une autre brune, dans une robe grise moulante et des cheveux noirs anthracite. À ce stade, un dialogue commence entre les jeunes hommes et les filles. La tournure des négociations montrent à quel point la situation est bon marché et à quel point le traitement des femmes est flagrant et dégradant :
«Ici, c'est ta copine», dit-il à son ami. «Qui voulez-vous?»
Eran: «Je veux la blonde.»
Shalom: «Tu m'apportes la brune »
Les deux s'approchent des deux jeunes femmes, leur parlent et retournent à table. «J'ai proposé de les prendre tous les deux pour 1 800, mais ils n'étaient pas d'accord», rapporte Eran. «Je voulais deux pour un. Je veux 2000.»
Les jeunes femmes signalent aux deux jeunes israéliens qu'elles étaient d'accord. «Je vais coucher avec elle environ une demi-heure, et je reviendrai», déclare Eran. «Apportez 1 000 shekels.» Puis les quatre montent dans les chambres.
«Sexe, drogue et Burj Khalifa: le commerce de la prostitution des Israéliens à Dubaï», l'autre enquête de Mako.co.il
Pour sa part le troisième site d’information du pays, Mako, a publié une enquête similaire où il pointe du doigt des réseaux mafieux israéliens, connus des forces de police de leur pays, qui exploitent le commerce du sexe à Dubaï.
Outre les excursions en jeep dans le désert, l'une des entreprises prospères à Dubaï auprès des touristes Israéliens est une société d'Escort, rapporte Mako.
Selon le site d'information, il s'agit d'entreprises appartenant à des criminels israéliens qui ont transféré leurs activités de l'Europe de l'Est vers Dubaï.
Citant une sourcière, le journaliste Shimon Ifergan écrit : «Ce sont des criminels qui ont fui Israël et sont entrés à Dubaï avec un passeport européen pour le commerce de la cocaïne et qui ont prospéré par la suite dans la prostitution».
Ces réseaux mafieux du centre d'Israël sont impliqués dans la gestion d'un réseau d'agences d'escorte à Dubaï avec des partenaires locaux. Ils exploitent le filon des jeunes touristes israéliens qui partent à Dubaï principalement pour avoir des relations sexuelles avec de jeunes femmes asiatiques que leur proposent les agences israéliennes.
«Peu de temps avant la signature des accords entre Israël et les Émirats arabes unis, nous avons suivi et nous suivons toujours certains criminels du centre du pays qui ont fui Israël et se sont installés à Dubaï avec des passeports européens», a déclaré une source policière à Mako.co.il.
ces Israéliens ont payé des millions de dirhams émiratis pour conclure des partenariats avec plusieurs agences d'escorte appartenant à des hommes d'affaires locaux.
«Leur plan initial était de s'engager dans le trafic de cocaïne, mais la consommation et le trafic de drogue sont interdits à Dubaï et la punition peut parfois être la peine de mort. Ils ont donc décidé de faire appel à des agences d'escorte et d'acheter des bâtiments et des appartements en partenariat avec des hommes d'affaires locaux» a déclaré la source policière.
Toutefois, poursuit la police, ces criminels continuent d'opérer depuis Dubaï en ce qui concerne le trafic de cocaïne, dans le monde entier. Et pour preuve la saisie de plus grande saisie de cocaïne saisie en Israël ces dernières années dans un entrepôt de Beer Tuvia, effectuée il y a quelques semaines.
Des forfaits de 1 200 $ pour passer 4 nuits de «fête» à Dubaï
Le journal Mako a dévoilé l'exitance d'un réseaux d'agence d'escorte proposant via des hommes de paille des forfaits au prix de 1 200 $ pour quatre nuits à Dubaï, visas compris.
« Il s'agit du même procédé qu'avaient entrepris les chefs d'organisations criminelles en Israël dans les années 1980 et 1990 lorsqu'ils ont repris l'industrie du voyage des forfaits vacances, des jeux d'argent et des «Escort girls» en Roumanie, en République tchèque et en Hongrie», explique une source policière israélienne.
« Beaucoup de touristes israéliens viennent ici», explique la directrice d'uns prestigieuse agence d'escorte à Dubaï, au journaliste israélien qui s'est fait passer pour un client.
«L'une des personnes en charge de l'endroit que je dirige est un Israélien de Jaffa. Contactez-moi sur Tinder. J'ai un catalogue de filles et chacun choisit qui il veut et paie en liquide ou par carte de crédit».
Le problème des Israéliens est que la plupart d'entre eux sont avares. Ils négocient toujours les prix, explique la gérante. Ca nous arrive de menacer d'appeler la police si ils ne veulent pas payer le prix. Et de rajouter, le problème des jeunes israéliens, c'est quand ils sont ivres, ils maltraitent les filles.
« Mes filles maudissent les jeunes clients israéliens qui souvent veulent en faire des esclaves sexuelles. C'est comme s'ils n'avaient jamais vu de femme et c'est triste », se confie la gérante de l'agence d'escorte.
Mako conclut son enquête en citant le témoignage d'un Israélien, installé à Dubaï et qui connait l'industrie du sexe israélienne : «Il n'y a pas de jeunes femmes ici qui se livrent à la prostitution dans les rues, comme dans de nombreux endroits dans le monde parce que c'est interdit. Pour les réseaux installés à Dubaï,il s'agit là de l'argent propre. Ils ne paient aucun impôt et les bénéfices des criminels israéliens et locaux sont énormes. Ils ont d'ailleurs investi beaucoup d'argent dans le business qui leur génère plusieurs millions de dollars par mois et même plus.»
These Israeli have no respect for anyone except the one for their community. To them, non Jew women are just pieces of meat, jut good to be put into slavery! The young one after their military service, where they kill Palestinians, come to Dubai to mistreat women, they have lost any senses of human respect.
To make it short, theses people are discussing and acting the same ways in eat Asia with women!!