Ce lundi 29 juillet 2024, nous célébrons avec reconnaissance et admiration la magnanimité de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Par son geste noble et bienveillant, notre Roi accorde sa grâce à nos confrères, incarnant ainsi la véritable essence de la compassion et de la justice.
Que Dieu bénisse Sa Majesté et qu'Il continue de guider notre nation sur le chemin de la paix et de la prospérité. Vive le Roi !
Dans un élan de magnanimité remarquable, ce lundi fut marqué par l'annonce d'une grâce royale, enveloppant journalistes, militants et condamnés repentis dans des affaires de terrorisme, à l'occasion de la célébration du vingt-cinquième anniversaire de l'accenssion au trône du souverain alaouite.
Parmi les âmes libérées par ce geste de clémence royale, l'on compte les journalistes Taoufik Bouachrine, Omar Radi et Souleimane Raissouni, ainsi que les militants Reda Touajni, Youssef El Hairch, Saïda El Alami et Mohamed Kanzouz, ayant tous purgé des peines prononcées dans le cadre de différents dossiers judiciaires. De surcroît, seize condamnés en vertu de la loi antiterroriste et un autre groupe bénéficiant de la liberté conditionnelle, parmi lesquels Imad Stitou, Afaf Bernani, Hicham Mansouri et Abdeslam Aït Aicha, ont également été touchés par ce pardon souverain.
Ce geste royal, auréolé d'une signification particulière en ce moment de commémoration, a été largement acclamé par le public et les défenseurs des droits humains, réaffirmant la dimension humaine et progressiste du règne du Roi Mohammed VI.
L'un des aspects positifs de cette initiative royale, qui reste une prérogative exclusive du roi, est que la grâce est un mécanisme qui protège les droits des victimes et concerne uniquement la peine ou ce qu'il en reste, sans affecter la partie civile ni les amendes.