Pris de court lors de la séance de briefing des médias sur les questions relatives aux relations internationales, le porte-parole adjoint, du département américain, Robert Palladino, en réponse à une interpellation d'un journaliste, a affirmé que comme l'information, de la démission de Bouteflika venait de tomber, il n'avait pas de réaction spécifique autre que les États-unis se posent des questions sur la manière avec laquelle cette transition serait conduite et qu'in fine, il revient aux Algériens de décider comment gérer cette transition.